Petit pas personnel proposé ce mois-ci
Avec le Carême, alors que nous tâchons de prier davantage, de faire l’aumône et de jeûner pour nous préparer à la Résurrection, nous pouvons parfois nous retrouver dans une phase de désolation, oui ce temps de conversion peut passer par du combat spirituel et des obstacles.
Saint Ignace de Loyola, parlant de la désolation nous dit : « l'âme est portée à la méfiance, elle est sans espoir et sans amour, […] et comme séparée de son Créateur et Seigneur ». Oui, on peut croire que le Seigneur nous a oublié, qu’il nous a abandonné, mais il est en réalité tout près de nous.
« C’est pourquoi, mon épouse infidèle, je vais la séduire, je vais l’entraîner jusqu’au désert, et je lui parlerai cœur à cœur » (Osée 2, 16)
Pour sortir de cette phase de désolation, voici quelques pistes :
- Je choisis de m’ancrer davantage dans la prière, de suivre les décisions que j’ai prises (pendant ma phase de consolation) et je multiplie les actes d’amour (le meilleur rempart contre celui qui cherche à diviser).
- J’en parle à quelqu’un de confiance, un frère ou une sœur en Christ, un prêtre ou une sœur consacrée. Je peux aussi demander la prière des frères à la fin des messes ou le mardi soir au groupe de prière.
- Je peux écrire une lettre à Dieu pour Lui déposer ce qui me tourmente, et lui dire ce qui pourrait me consoler.
- Je m’appuie sur les sacrements qui me ramènent toujours au Seigneur (notamment le sacrement de réconciliation).
En conclusion, la désolation représente une occasion de croissance spirituelle, occasion de tenir ferme dans la foi, de manifester notre amour pour notre Seigneur sans en chercher le bénéfice. C’est dans cette pauvreté, en cherchant Son cœur, que Lui peut me trouver, disponible, sans armes.
« Ma grâce te suffit, car ma puissance donne toute sa mesure dans ta faiblesse » (2 Co 12, 9)
Sa réponse arrive, toujours !Avec le Carême, alors que nous tâchons de prier davantage, de faire l’aumône et de jeûner pour nous préparer à la Résurrection, nous pouvons parfois nous retrouver dans une phase de désolation, oui ce temps de conversion peut passer par du combat spirituel et des obstacles.
Saint Ignace de Loyola, parlant de la désolation nous dit : « l'âme est portée à la méfiance, elle est sans espoir et sans amour, […] et comme séparée de son Créateur et Seigneur ». Oui, on peut croire que le Seigneur nous a oublié, qu’il nous a abandonné, mais il est en réalité tout près de nous.
« C’est pourquoi, mon épouse infidèle, je vais la séduire, je vais l’entraîner jusqu’au désert, et je lui parlerai cœur à cœur » (Osée 2, 16)
Pour sortir de cette phase de désolation, voici quelques pistes :
- Je choisis de m’ancrer davantage dans la prière, de suivre les décisions que j’ai prises (pendant ma phase de consolation) et je multiplie les actes d’amour (le meilleur rempart contre celui qui cherche à diviser).
- J’en parle à quelqu’un de confiance, un frère ou une sœur en Christ, un prêtre ou une sœur consacrée. Je peux aussi demander la prière des frères à la fin des messes ou le mardi soir au groupe de prière.
- Je peux écrire une lettre à Dieu pour Lui déposer ce qui me tourmente, et lui dire ce qui pourrait me consoler.
- Je m’appuie sur les sacrements qui me ramènent toujours au Seigneur (notamment le sacrement de réconciliation).
En conclusion, la désolation représente une occasion de croissance spirituelle, occasion de tenir ferme dans la foi, de manifester notre amour pour notre Seigneur sans en chercher le bénéfice. C’est dans cette pauvreté, en cherchant Son cœur, que Lui peut me trouver, disponible, sans armes.
« Ma grâce te suffit, car ma puissance donne toute sa mesure dans ta faiblesse » (2 Co 12, 9)
Sa réponse arrive, toujours !